Après une longue pause et une série de traductions et de billets plus ou moins détachés de l'actualité, j'essaye de rattraper les dépêches de mon fil Twitter, et voilà que je tombe, bien opportunément, sur Cannes, Serebrennikov et son «Été», une occasion pour moi de parler (une fois de plus) des personnages dépeints par son film et, comme d'habitude, de finir par divaguer sur des trucs qui n'ont pas beaucoup de rapport.
